Page:Rictus - Les Soliloques du Pauvre, 1903, 5e éd.djvu/34

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« Ma parole ! on n’est pus chez soi,
« On n’peut pus digérer tranquilles…
« Nous payons l’impôt, gn’a des lois !
« Qu’est-c’ qu’y font donc, les sergents d’ ville ? »

J’ suis loin, que j’ les entends encor :
L’vent d’hiver m’apport’ leurs cris aigres.
Y piaill’nt, comme à Noël des porcs,
Comm’ des chiens gras su’ un chien maigre !