Page:Rictus - Les Soliloques du Pauvre, 1903, 5e éd.djvu/78

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(— Mais d’qui donc, feignant, mâche-angoisse,
Princ’des Couillons, mine à croquis,
Gibier d’Poissy qu’a l’taf qu’on l’poisse,
Non, mais dis-nous donc l’baiser d’qui ?


— T’en as d’l’astuc’, c’est épatant !
Ousqu’alle est ta Blanch’, ta Radieuse,
Tu t’es pas vu, eh ! dégoûtant,
Toi et ta requinpett’pouilleuse ?)


………………..


Ben, ma foi, si gn’a pas moyen,
C’est pas ça qu’empêch’ra que j’l’aime !
Allons, r’marchons, suivons not’flemme
Rêvons toujours, ça coûte rien !