Page:Rictus - Les Soliloques du Pauvre, 1903, 5e éd.djvu/145

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(Ton Paradis ? Eh ben ! c’était
Un soliloque de malheureux !)

Steinlein - Jehan Rictus Le revenant



XIII




— Ah ! sors-toi l’cœur, va, pauv’panné,
Ton cœur de pâle illuminé,
Au lieur d’histoir’s à la guimauve
Hurle ta peine à plein gosier.