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V



Steinlein - Jehan Rictus Le printemps


En attendant, les gas d’la Haute,
(Ceuss’qui nous sont dévoués l’Hiver)
Se caval’nt et vont s’mett’au vert ;
Si gn’a d’la dèch’, c’est-y d’leur faute ?


Sûr que non ! Y z’ont fait ripaille ;
Mais, c’était pour les malheureux
Et y sont quasi su’la paille,
À forc’d’avoir carmé pour eux ;