Page:Rictus - le Cœur populaire, 1920.djvu/12

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

D’abord, quoiqu’ tard, y fait cor clair
et souvent, y a eu eune ondée
qu’était tiède autant que des pleurs...


à preusent les crottoirs mouillés
reflèt’nt le ciel et ses couleurs,
et les ruisseaux balad’nt du bleu.


V’là donc les frangins du cravail
qui rentiffent comme un bétail,
la gueul’ baissée, les arpions lourds.....


Ah ! pis y a c’ potin de la rue
fait des embarras d’omnibus,
des claqu’ments d’ fouets, des roues d’ camions,
des engueulad’s de collignons ;