Page:Rictus - le Cœur populaire, 1920.djvu/189

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« Présent partout où c’est qu’ t’iras,
si tu vis... tu la reverras
écrasée, vilaine, en bouillie
d’ la magnèr’ qu’ tu l’as arrangée.
Ell’ que tu trouvais si jolie
et que d’ baisers t’aurais mangée.


Pauvre Julien, pauvre Julien !


« A t’ faisait des queues, c’est certain.
Mais quoi, c’était-y eun’ raison ?
c’était h’encor qu’eun’ pauv’ mignarde
qui connaissait pas l’ mal du bien...
C’est vrai qu’a s’ra pus à personne ;
à toi non pus, ça t’avanc’ bien,


Pauvre Julien, pauvre Julien !