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e château s’éteint doucement. Tous sont
lourds : de fatigue ou d’amour ou d’ivresse.
Après tant de vides et longues nuits de camp :
des lits. Des larges lits de chêne. On y prie
autrement que dans le misérable sillon de rencontre,
qui, lorsqu’on veut s’endormir, devient
comme une tombe.
— Mon Dieu, comme il vous plaira !
Plus courtes sont les prières dans un lit.
Mais plus ferventes.