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Page:Rilke - Les Cahiers de Malte Laurids Brigge.pdf/256

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tage que l’amour dont ils étaient si vaniteux et auquel ils s’encourageaient en secret les uns les autres, ne le concernait pas. Il avait presque envie de sourire lorsqu’ils s’efforçaient, et il devenait clair combien peu ils pouvaient penser à lui.

Que savaient-ils de lui ? C’était maintenant terriblement difficile d’aimer, et il sentait qu’un seul en serait capable. Mais celui-là ne voulait pas encore.

fin des cahiers
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