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Page:Rilke - Poésie (trad. Betz).pdf/121

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s’élève ton front rayonnant.
En songe, quelquefois, pourtant,
je puis étreindre
tout ton espace,
du fond des origines
jusqu’au faîte doré du toit.
Et mes sens, alors, je le vois,
forment et patinent
les ornements ultimes.