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CHANSON DE LA PLUS HAUTE TOUR


Oisive jeunesse
À tout asservie,
Par délicatesse

J’ai perdu ma vie.
Ah ! que le temps vienne

Où les cœurs s’éprennent !

Je me suis dit : Laisse, 

Et qu’on ne te voie.
Et sans la promesse

De plus hautes joies.

Que rien ne t’arrête,

Auguste retraite.