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La rivière de cassis roule ignorée,
À des vaux étranges.
La voix de cent corbeaux l’accompagne vraie

Et bonne voix d’anges.
Avec les grands mouvements des sapinaies
Où plusieurs vents plongent.

Tout roule avec des mystères révoltants
De campagnes, d’anciens temps, 

De donjons visités, de parcs importants ;
C’est en ces bords que l’on entend

Les passions mortes des chevaliers errants.
Mais que salubre est le vent.