Page:Rimbaud - Poésies complètes, Vanier, 1895.djvu/28

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

Près du lit maternel, sous un beau rayon rose,
Là, sur le grand tapis, resplendit quelque chose…
Ce sont des médaillons argentés, noirs et blancs,
De la nacre et du jais aux reflets scintillants ;
Des petits cadres noirs, des couronnes de verre,
Ayant trois mots gravés en or : « À notre mère ! »

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .


2 janvier 1870