Page:Rimbaud - Une saison en enfer.djvu/37

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Ce charme a pris âme et corps
Et dispersé les efforts.

Ô saisons, ô châteaux !

L’heure de sa fuite, hélas !
Sera l’heure du trépas.

Ô saisons, ô châteaux !


Cela s’est passé. Je sais aujourd’hui saluer la beauté.