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Page:Rivard - Chez nos gens, 1918.djvu/21

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CHEZ NOS GENS

grand’chambre tendue de noir. Des parents, des amis viendront le visiter et prieront pour son âme. Le soir, les voisins s’assembleront pour réciter auprès du mort la grande prière du soir. Et durant trois jours et trois nuits, on le veillera…

Puis, ce sera la levée du corps, le départ dans le lugubre chariot…

Et la grand’chambre se refermera, pleine de souvenirs.