Page:Rivard - Manuel de la parole, traité de prononciation, 1901.djvu/45

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée
35
GYMNASTIQUE VOCALE

chuchotez, en cherchant dans les charmilles des charançons. — Cheminant sur le chemin, je cherchais en chantonnant à changer les sons de ma chanson.

92. — g. — Il grimpa au grand roc de granit gris et grava grossièrement le groupe des Grâces. — César subjugua les Gaulois. — Grognards grenadiers de la garde, grands gaillards, gardez-vous de vous griser dans les guinguettes. — Je distingue là-bas les guérites élégantes des gardes.

93.—k.—Le catécAumèno est devenu un cA ré tien et mène la vie d’un anacAovète.— Les quatre coquins accusés de vol, Neront incarcérés, condamnés et exécutés pour avoir commis ce crime. — Les lecteurs ne croient que ce qui est clair.— Le loustic au bivouac, a caché le hav»*rt et lo képi du capitaine des canonnière dt •iian. i lu colonel des cuirassiers. ai.—gît.—Cet homme ignoble feignit d’être fou pour que la justice ne l’atteignit pas.— Nous atteignons le sommet de la montagne, — Il craignait la compa^ïiie des savants, et celle des ignorants lui répugnait. — L’élobjrnement nuit à l’amitié, disait Madame de Sévigné,— Il s’éloir/ne pour s’épargner une besogne ennuyeuse.

95.—h.—Sous le Aaubert et le Aarnois, les Aardis héros étaient Aantés par la Aideuse horreur de la Anche. — La Aorde Aarassée et Aarcelée vint Aeurter en Aâte à la pauvre Autte. — Les Aardis /hollandais gardaient leurs Aouppelandes et leuis Aallebardes, dans leurs Aaltes sous les Aangars.— Cet homme aux traits Aideux, aux yeux Aagards, à l’air Aargneux 4