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Page:Rivarol - De l'universalité de la langue française.djvu/10

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ON ſent combien il eſt heureux pour la France, que la Queſtion ſur l’Univerſalité de ſa Langue ait été faite par des Etrangers ; elle n’auroit pû, ſans quelque pudeur, ſe la propoſer elle-même.