Aller au contenu

Page:Riversdale - Échos et reflets, 1903.djvu/48

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.


Jamais ta ruse ne s’endort
Sous ton illusoire paresse.
Un goût de menace et de mort
Corrompt ta subtile caresse.

Voici la nuit souple, rampant
Vers l’opale de la colline…
Et, sinueux comme un serpent,
Ton charme étrange me fascine.