Page:Rivière - Recueil de contes populaires de la Kabylie du Djurdjura, 1882.djvu/191

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3.- LE DJENNAD ET SON FRÈRE

UN Djennad trouve un lièvre endormi, il le frappe à la tète avec un bâton, l’animal pousse un cri et meurt. Il rentre à sa maison, et raconte la chose à son frère: «Comment l’as-tu tué? allons à l’endroit où tu l’as tué." Ils y vont ensemble: «Couche-toi maintenant, dit le Djennad, je te montrerai comment je l’ai frappé.» Et il administre à son frère un coup de bâton. «Crie maintenant comme a fait le lièvre.» L’autre ne poussa aucun cri, il était mort»