Page:Robert - Histoire et description naturelle de la commune de Meudon, 1843.djvu/195

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Meudon, à celui du Volga vers Nijni-Novgorod, puis embrasse dans tout son ensemble Paris, ce grand centre de la civilisation, cette Rosa mundi, ainsi que je l’ai entendu appeler si élégamment, à Hambourg, par un Allemand qui y occupe un poste très élevé et se fait non moins remarquer par sa philanthropie que par son savoir profond en histoire naturelle, notamment en cristallographie.

Aucune description, assurément, n’est susceptible de rendre tous les objets que cette rose du monde, mais bien épineuse, étale, il faudrait faire un volume pour l’entreprendre. Que de pensées soulève l’aspect de cette mer d’édifices, dont la surface est hérissée de tours, de clochers, de colonnes, etc., qui sont là comme autant de récifs ou de pics volcaniques, entre lesquels se traînent avec lenteur des nuages épais de poussière et de fumée ! Revenu de l’impression profonde que ce