ces oiseaux abondent dans la forêt de Meudon. Je dirai aussi un mot du verdier qu’il ne faut pas confondre avec le bruantverdier ; le premier est assez rare, tandis que le second est très commun ; ce sont des oiseaux qui vont toujours en bande dans les prés et plaines.
« En parlant du loriot, j’aurais dû citer le torcol, non que cet oiseau soit de la même famille, mais parce qu’il a un cri tellement semblable à celui du loriot, qu’il est très difficile de reconnaître celui des deux oiseaux à qui il appartient. J’ajouterai que le loriot ne paraît à Meudon que du mois de mai à celui de juillet ; jamais je n’en ai vu ni entendu, passé cette époque ; du reste, il n’y est pas rare.
« On y trouve aussi beaucoup de bergeronnettes sur le bord des étangs ; ces oiseaux, ne se nourrissant guère que de petits vers, se