Page:Robert - Histoire et description naturelle de la commune de Meudon, 1843.djvu/301

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entre elles ; il se présente, suivant les localités, en grains isolés, depuis le volume d’un gros grain de plomb ou de chenevis jusqu’à celui de nodules pugillaires, composés eux-mêmes de grains semblables fortement agglutinés par un ciment argilo-ferrugineux, et dont l’ensemble prend alors la contexture tuberculaire ; ils ont, du reste, l’un et l’autre, aussi bien dans les formes qu’ils affectent que par leur manière d’être, la plus grande analogie avec les limonites de la Bourgogne, et mériteraient certainement d’attirer l’attention si le métal qui en provient était moins commun dans la nature et le combustible plus abondant autour de nous.

Le fer pisolithique hydroxidé de Meudon ne le cède à aucun autre de ce genre, en richesse métallique ; il donne, étant bien lavé, 33