Page:Robert - Histoire et description naturelle de la commune de Meudon, 1843.djvu/321

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n’offrent plus ou moins le même phénomène[1].

  1. En effet, j’ai constaté, depuis cette observation, exactement la même chose, à la pointe en amont de l’île Billancourt (peut-être mieux Biancourt) et sur sa rive septentrionale, là où les eaux portent tous leurs efforts. On dirait que la concrétion calcaire agit, dans cette circonstance, comme un ciment déposé à dessein par la nature pour empêcher qu’un nouveau caprice du fleuve ne vienne faire disparaître des îlots formés primitivement par lui, et livrés à de florissantes cultures.