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Page:Robert - Les Ondins, tome I.djvu/157

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principes & une très-mauvaise éducation ?

Vos réflexions sont justes, dit Verdoyant, mais j’ai prévu à tous les inconvéniens qui pourroient arriver, & veux bien vous dire, pour achever de vous tranquiliser, que déja un Sylphe de mes amis s’est chargé de veiller sur la conduite de votre fils. Je croyois, dit Tramarine, votre pouvoir sans bornes ; apprenez-moi du moins sa destinée. Je ne puis à-présent sur ce point vous satisfaire : contentez-vous de la parole que je vous donne qu’il sera très-heureux. Tramarine insista, & le Génie, en refusant de contenter sa curiosité, l’irrita. Les femmes, ainsi que