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Page:Robert - Les Ondins, tome I.djvu/70

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seilla à sa Reine de leur faire sentir tour le poids de son indignation, en punissant sévérement celles qui avoient contribué, par leurs discours séditieux, à répandre le trouble dans la Ville. Les Magiciennes, dévouées à la Chanceliere, furent de son avis ; & la Reine entraînée, pour ainsi dire, par le torrent, se crut obligée de donner un Arrêt, par lequel elle déclaroit que sa volonté suprême étoit que les Loix eussent leur entier accomplissement, & que toutes ses Sujettes seroient tenues, sous les peines ci-devant énoncées, de visiter du moins une fois l’année le Temple de la Déesse Pallas, d’y prendre