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Page:Robert - Les Ondins, tome II.djvu/151

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juste lorsque j’ai pû douter de son sort ! Il est votre fils, vous l’aimez, vous faites sa gloire & son bonheur. Sa destinée vous est à-présent connue, reprit Verdoyant, & je crois qu’il ne doit plus vous rester aucun doute sur les honneurs dont il va jouir ; c’est pourquoi, comme nous sommes logés ici fort à l’étroit, je pense qu’il seroit à propos de rejoindre la Flotte afin de continuer notre route.

Tramarine, dont tous les objets qui auroient pû exciter sa curiosité se trouvoient remplis, peut-être ennuyée d’une aussi longue marche, & dans la vive impatience de présenter le Roi son pere au Souve-