Page:Rocca de Vergalo - Les Livre des Incas, 1879.djvu/19

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A JOSÉ IGNACIO MERINO 13 iA JOSÉ IGl&JlCIO ME%t%0. Artiste heureux, mort immortel, Compagnon de Guillaume Tell, Ami sacré de Raphaël, Ne reviens point de l’autre monde, Ta surprise serait profonde, Tu trouverais la Rose immonde ! Poursuis ton vol audacieux, Chante tes vers délicieux, De cent couleurs remplis les deux. Ame fleurie, aigle, colombe ! Lorsqu’un dieu tel que toi succombe, L’immensité devient sa tombe. Si du haut des divins remparts Tu laissais choir tes doux regards, Tu te verrais de toutes parts. Là-bas, aux bords du Pacifique, Entends-tu cet hymne sapphique ? On chante ton coeur magnifique.