la villa du Progrès et au 11 la rue de la Liberté (1889).
N° 108. Rue Miguel-Hidalgo (1869). Nom de fantaisie. Cette rue n’est pas encore construite. Une rue projetée, dite de la Banque, devait la faire communiquer avec l’impasse des Carrières (rue d’Hautpoul) qui a disparu.
En 1853 cette rue n’existait qu’entre la rue des Fêtes et le parc des Buttes-Chaumont. Elle fut prolongée en 1868 et on lui ajouta la rue de Marseille qui allait de la rue d’Allemagne au quai de la Marne, et la rue de Bordeaux qui allait du quai de l’Oise à la rue de Flandre. Cette longue rue nous fera traverser tout le XIXe siècle arrondissement.
N° 9. Orphelinat maçonnique.
N° 33. Rue des Annelets (1843). Le nom vient d’ânelets (petits ânes) ou par altération d’agnelets (petits agneaux).
N° 34. Passage des Annelets (1843). Faisait partie avant 1881 de la rue des Annelets.
N° 42. Au Pigeon Voyageur (enseigne).
N° 93. Chapelle évangélique de la Villette, qui se trouve dans un jardin.
N° 97. Rue Meynadier (1864). Nom en souvenir du lieutenant général blessé en 1814 aux Buttes Chaumont (1778-1847). Au 14, construction moderne assez originale.
N° 96. Rue de Lorraine (1868). Formée par la réunion des anciennes rues de Metz et de Nancy.
N° 135. Rue Tandon (1869). (Nom de propriétaire.) Cette rue aboutissait rue d’Allemagne avant 1903. Elle
