Aller au contenu

Page:Rod - L’Innocente, 1897.djvu/13

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

s’il connaît peu de choses, il les connaît bien : pour s’être exercé sur un panorama restreint, son coup d’œil n’en est ni moins pénétrant, ni moins sûr.

Quand nous étions ensemble sur les bancs de l’école, pendant les récréations ou les promenades, j’aimais à lui raconter ma vie, toute simplette, dont les moindres