Aller au contenu

Page:Rod - La Chute de Miss Topsy, 1882.djvu/103

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

tra aux Folies-Bergère une fille qui lui plut, parce qu’elle ressemblait lointainement à Topsy. Elle se nommait Héloïse ; elle était entretenue par un vieillard très riche, et ne fréquentait que rarement les lieux publics, lorsque l’envie la prenait d’introduire un changement dans son existence. Frémy la reconduisit et la vit plusieurs fois. Elle ne lui demandait pas d’argent ; mais il fallait lui offrir des fleurs, la conduire à la campagne, l’accompagner au théâtre. Il fit pour elle quelques-unes des « folies » qu’il avait craint de faire pour Topsy : il vendit enfin sa pendule en vieux Saxe.

— À la bonne heure ! lui disait Pellard, vous commencez à com-