Page:Rodenbach - L’Élite, 1899.djvu/166

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Il est naturel que cette nostalgie se retrouve chez un écrivain toujours en peine d’aimer, et qu’aucun amour ne contente… Il aime l’amour, il aime la gloire ; il aime les fleurs ; il aime les pauvres, il aime les livres ; il aime l’art, avec une passion exaltée et militante ; peut-être aussi qu’il aime la mort… Et ceci encore est bien conforme à sa destinée d’un Don Juan de l’Idéal… La mort est le dernier amour de Don Juan.