Page:Rodenbach - La Jeunesse blanche, 1913.djvu/174

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
171
VERS D’AMOUR


— À cette heure adorable où le jour qui s’endort
À fauché les rayons du soir comme des seigles ―
Que les musiques donc chantant, prenant l’essor,

Entraient, ouvrant leur aile, en moi ― comme des aigles !