Page:Rodenbach - La Mer élégante, 1881.djvu/101

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De légers cerfs-volants tenus par des ficelles
Au dessus des flots noirs tout brodés d’étincelles
Semblent des pavillons sur d’invisibles mâts.

Et cela rend songeurs les vieux marins dans l’ombre
Qui, rêvant d’un départ pour de lointains climats,
Comme des exilés, regardent la mer sombre !