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Page:Rodenbach - Le Mirage, 1901.djvu/167

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HUGHES, allant vers elle.

Voyons, ne boude pas, ne te fâche pas. Cela ne vaut pas le peine. Reviens…

Il veut l’entraîner.
JANE.

Laisse-moi !

HUGHES.

Tu es vraiment d’une susceptibilité.

JANE.

Tu m’embêtes !

HUGHES.

Nous allons encore nous faire du mal.

JANE.

C’est toi !… tu es stupide avec ta peur des gens !… Je m’en moque, des gens !…

HUGHES.

Allons ! une nouvelle scène ! Et pour rien ! pour rien !