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Page:Rodenbach - Le Miroir du ciel natal, 1898.djvu/192

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IV

Oui ! c’est la mort, mais c’est aussi l’Éternité ;
Entrez, mon âme irrésolue !
Le portail vous effraie et ses démons sculptés ;
Mais l’église est toute bonté,
Et, par les vitraux noirs, un clair de lune afflue.

Ô mon âme, rien de la vie
Ne vous aura suivie
Dans cette ombre propice et que vous souhaitiez.