Page:Rodenbach - Le Miroir du ciel natal, 1898.djvu/225

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Seigneur ! en un jour grave, il m’en souvient, Seigneur !
Seigneur, j’ai fait le vœu d’une œuvre en votre honneur.

C’est donc pour vous qu’ici brûlent d’abord des lampes
Qui disent votre gloire et sont mes dithyrambes.

Toutes ces chastes Premières Communiantes
Vêtent mes rêves blancs de leurs robes qui chantent.