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Au perron de notre âme, un cabrement, les soirs,
Cabrement, sous le clair de lune métallique,
D’une troupe de paons, de grands paons radieux
Ouvrant leur queue en or comme un éventail d’yeux.
Au perron de notre âme, un cabrement, les soirs,
Cabrement, sous le clair de lune métallique,
D’une troupe de paons, de grands paons radieux
Ouvrant leur queue en or comme un éventail d’yeux.