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Page:Rohan - Les Lucioles, Calmann-Lévy.djvu/142

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Mais mon esprit perçant les cieux,
En rêvant franchira l’espace
Pour retrouver la douce place
De mon lent baiser sur vos yeux.
 
Et ce baiser, fraîcheur exquise
Comme un souffle des Océans,
Pendant des mois, pendant des ans,
Enchaînera mon âme éprise.