Page:Rohan - Les Lucioles, Calmann-Lévy.djvu/50

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Monte sur la colline et regarde le monde ;
Vois l’exemple de ceux, là-bas, qui sont fameux.
La cité s’étourdit, le bal mène sa ronde,
Brise ton luth divin, Poète, et fais comme eux.

Parfume tes habits d’héliotrope et d’ambre ;
Fais ta trouée, ami, terrasse le destin.
Sois joyeux ! tous les soirs on gémit dans sa chambre ;
Mais, allègre, on remet son masque le matin.