Page:Rohan - Les Lucioles, Calmann-Lévy.djvu/56

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S’il s’absente, ô malheur ! tu restes agité ;
Tristement, l’œil en pleurs, tu guettes l’arrivée.
Son retour de Péronne, une antique cité.

J’aime ton bon regard de tendresse rivée,
Et tes baisers, Petto, ton bel attachement.
Car ton âme de chien se donne entièrement.