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Page:Rohan - Les Lucioles, Calmann-Lévy.djvu/90

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JEUNESSE.


Ils entendaient l’écho modulé par le vent,
Heureux sous le grand ciel de sentir leur jeunesse,
De nager dans l’azur du rêve où l’on s’entend,
Du frôlement de l’âme en divine caresse !