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Page:Roland - Palmira, 1801, tome 2.djvu/117

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PALMIRA.

les plus recherchés, les plus assidus, elle les recevait avec reconnaissance, mais sans croire à leur heureux résultat.

Jamais on n’avait vu un plus bel été en Angleterre. Les médecins conseillèrent à cette intéressante malade de se renfermer le moins possible. Effectivement, un soir, se sentant la force d’entreprendre une promenade, appuyée sur sa fille et sa nièce, accompagnée de milord Sunderland et de sir Abel, elle parcourut la partie magnifique des jardins qui se trouvent autour du château ; ensuite elle eut l’idée d’aller se reposer dans une île d’acacias, plantés, lui avait-on dit, le jour de sa naissance.

Ils entrèrent tous dans une petite