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Page:Roland - Palmira, 1801, tome 2.djvu/177

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PALMIRA.

par son éclatante blancheur, était le favori de sa mère, s’approchait des bords du canal dès qu’il l’appercevait, et suivait toujours sa nacelle.

Une forte oppression succéda à la sorte de douceur que Palmira avait d’abord ressentie en se livrant à ses tristes souvenirs : elle sortit de l’île, craignant de se trouver tout-à-fait mal ; la fraîcheur de l’eau la remit un peu. Elle reprit le chemin le plus court pour retourner au presbytère. Sa promenade, l’événement de la nuit prochaine, lui donnaient une profonde distraction : elle en fut tout-à-coup tirée par l’apparition du vieillard Akinson, descendant de voiture à la porte de M. Orthon.

Vous ici ! cher monsieur Akinson !