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Page:Roland - Palmira, 1801, tome 3.djvu/171

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PALMIRA.

rens, même le bon duc de Sunderland, et que vous ne seriez pas mon cousin… Il faut renouer cette affaire. Simplicia est une jolie créature, aimable, douce : Miladi Arabel est fréquemment avec elle ; n’importe, elle ne gâtera pas cet heureux naturel ; et, j’en réponds, le mari de la petite Sunderland sera un mortel très-favorisé. Mais il faut vous quitter, sir Alvimar, Moerton m’attend ici près. Adieu, j’espère vous rejoindre bientôt à Londres. Là, nous nous attendrirons sur les jeunes infortunées. Elles m’intéressent beaucoup, sur-tout quand elles ressemblent à miss Harvick, Harville ; n’est-ce pas son nom ou à peu près ? J’entends un cor, Moerton s’impatiente, j’en suis sûr.