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Page:Roland - Palmira, 1801, tome 3.djvu/204

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PALMIRA.

veille, écoulée dans le cabinet de Mathilde.

L’été était déjà avancé ; Londres devenait insensiblement désert : on vantait la bonne compagnie qui se rendait à Bath ; cela décida les habitans de Gros-Venor-Square et ceux de la place de Portland à y aller faire un petit voyage.

Trois jours après leur arrivée, ils rencontrèrent à la salle de jeu miladi Ranswill et madame de Belmont. Miladi D… et Simplicia avaient vu cette dernière quelque temps avant leur départ, et elle ne leur avait pas parlé de son projet. Celles-ci lui témoignèrent poliment leur agréable surprise. Ladi Ranswill répondit : Les Françaises sont un peu capricieu-