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Page:Roland - Palmira, 1801, tome 3.djvu/250

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PALMIRA.

Nous l’avions ramenée dans sa retraite avec le souvenir, plus insupportable que jamais, de sir Alvimar, le cœur déchiré d’une passion violente, l’esprit abattu par une vie monotone ; elle avait peine à comprendre qu’il existât une plus cruelle situation. Infortunée ! tu vas cependant l’éprouver.


Fin du tome troisième.