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Page:Roland - Palmira, 1801, tome 3.djvu/61

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PALMIRA.

occasion d’être près de vous, répondit Charles ; mais effacez entièrement le sentiment de tristesse qui m’accable dans ce moment, en me permettant de vous suivre dans un plus long voyage. Paix ! paix ! dit madame de Saint-Pollin. Il est expressément défendu de traiter cet article-là. Ne songeons qu’à notre partie de demain. Je me fais une fête de passer une journée avec ces bonnes gens.

C’est bien gai, répliqua Hortense, d’être ainsi dans une cabane de pêcheurs entourée de rochers effroyables. Ah ! ces rochers, s’écria Charles, je les préfère au séjour le plus riant de l’univers, depuis qu’on y a trouvé un si précieux trésor, et il