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Page:Roland - Palmira, 1801, tome 4.djvu/150

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PALMIRA.

connaîtrait sûrement pas la fille de Jeronio ; qu’elle avait près d’elle une servante, demeurant à Mont-Fierry seulement depuis un an, étrangère à tous les événemens arrivés aux anciens fermiers de Balsemy. Personne que Rosine n’allait chez sa grand’mère. Paula y serait donc en sûreté.

Palmira approuva beaucoup cet arrangement ; elle donna encore quelque argent, du linge, et deux habillemens complets pour sa nouvelle protégée, que Rosine courut rejoindre de toutes ses forces. Elle revint après une heure d’absence, ravie d’avoir installé Paula chez sa vieille parente. Ô madame, dit-elle, qu’elle est sensible à toutes vos bontés ! J’ai pré-