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Page:Roland - Palmira, 1801, tome 4.djvu/211

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PALMIRA.

cloches ? je vais me joindre aux jeunes filles, je reviendrai peut-être bien tard ; mais j’espère, miss Eveling, qu’en faveur de cette circonstance, vous voudrez bien vous passer de moi ce soir. — Oui, oui, mon enfant, ne rentrez pas dans ma chambre aujourd’hui ; cela est plus qu’inutile. — Merci, miss : Oh ! je parie bien que vous ne vous en irez pas ; que vous ne serez plus tourmentée. Le courrier, qui est anglais et fort joli garçon, je vous assure, dit que milord et sa femme sont si beaux, si aimables, qu’ils s’aiment tant… Mais je vous quitte, mademoiselle, je m’en vais voir les apprêts de la fête qui leur est préparée…

La fête qui leur est préparée ! se