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Page:Roland - Palmira, 1801, tome 4.djvu/221

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PALMIRA.

donnée à sa casetta. Dans cette consternation générale, on l’avait oubliée. Vainement elle appelait, sonnait, personne n’accourait. D’un pas tremblant, elle essaya de se rendre au grand château. Le premier individu qu’elle y rencontra l’instruisit ; et, allant jusques chez ses enfans, elle leur dit avec une émotion que son âge n’aurait pu lui faire supporter long-temps : Comment ! elle ne vous était pas inconnue !

Ah ! madame, répond l’affligée Simplicia, vous allez savoir tous les droits qu’elle avait à votre protection ; et en même temps elle lui remit la lettre trouvée sur le secrétaire de Palmira. La duchesse trem-