Aller au contenu

Page:Roland - Palmira, 1801, tome 4.djvu/237

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
231
PALMIRA.

Charles Mircour. La bonne madame de Saint-Pollin, et quelques autres personnages que Palmira avait connus. Son cousin revint de l’Amérique en l’adorant toujours ; apprenant par madame de Saint-Pollin qu’elle devait être en Italie, il allait partir sans avoir d’autres renseignemens, lorsque sir Abel et sa famille, retournant en Angleterre, s’arrêtèrent au Hâvre. Ils visitèrent Charles, et le rendirent, en l’instruisant, encore plus malheureux qu’ils ne l’étaient eux-mêmes. D’après son impétuosité, seul défaut de cet intéressant jeune homme, il pensa succomber à l’excès de son désespoir. La sombre mélancolie qui succéda ne lui permettait plus de vaquer à aucune af-